Ecrits by --LaMiss--

Victime de la rareté
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De La-Miss-Anonyme

Le début du début

Il n'y a de là même pas deux mois que s'est produit un évènement extraordinaire qui a fait comprendre quelque chose au monde entier, et dont j'en suis témoin.



Commencement – Un début de détective

Ça se passait au Collège Paul Eluard de Noyon. Habituellement, personne ne se doute de rien. Tout le monde était tranquille, entrain de jouer ou de discuter. Sauf moi. Moi, je suis toujours inquiète, je crains toujours qu'il va se passer quelque chose de paranormal au futur. Mais, je suis toujours concentrée, curieuse et je réfléchis pour savoir si il va avoir un accident ou un vol, c'est pour ça que l'on m'appelle « Détective Missy ».



Chapitre 1 – Réfléchir n'est pas idiot

Ce jour là, ce n'était pas pareil, je me sentais tranquille moi aussi, assise sur les gradins. Je ne sentais pas le danger arriver. Pourtant, il y avait bien quelque chose qui n'allait pas. Marlène, une camarade, n'était pas venue au Collège depuis quelques semaines mais personne ne se doutait de rien. Tout à coup, cette pensée me frappa et je réfléchi un moment: il y avait bien un problème.
Marlène avait une mère très bizarre au cheveux blonds. Elle s'appelle Cécilia. Elle était odieuse et malhonnête. Son père, lui, avait une si grande honnêteté que personne n'osait dire une méchanceté sur lui. Il s'appelle Jaques. Tout le monde l'adorait, surtout les enfants, qui le considéraient comme leur propre père.
Quand j'ai pensé à ça, j'eus un soupçon, et, vous savez bien de quoi je parle... c'est peut-être la mère de Marlène.
A ce moment précis, il m'est parue une envie d'aller voir Marlène.
Marlène, c'est une jeune fille insouciante, persévérante et très attachante. Elle est belle et les garçons tombent tous à ses pieds. C'est ma meilleure amie, je passe presque tout mon temps au Collège avec elle. C'est un détective elle aussi et on la surnomme « Détective Mary ». Toute les deux, on s'amuse bien au Collège... seulement, ces derniers temps, je me sens bien seule sans ma chère amie Marlène.
La récréation est terminée, je vais me ranger pour aller en cours.


Chapitre 2 – En route chez la victime

Les cours sont enfin terminés. Je m'empresse de quitter le Collège pour aller chez Marlène. Je veux absolument éclaircir ce mystère....
Me voilà en route pour rendre visite à Marlène. Je suis impatiente, mais j'ai peur, trop peur. Je sais que je doit avoir du courage... Je continue ma route, une peur implacable dans le cœur. La route devient de plus en plus étroite, et moi, j'ai de plus en plus peur.
J'aperçus tout à coup une ombre bizarre, elle est sombre est grosse, je doute que c'est la mère de ma chère amie.
J'eus peur, tellement peur que tremblais très fort. Oui, cette fois j'en était sûre, c'est bien la mère de Marlène. Cécilia me prit par le bras et m'emmena chez elle.
La maison était calme, sans rien ni personne. Elle me fit asseoir sur le canapé, me donna une tasse de thé, et se mit à me raconter quelque chose.



Chapitre 3 – Révélations et nouveaux soupçons

Voici ce qu'elle me dit: « Un soir, j'étais rentrée tard du travail. Quand j'entrai dans la maison, j'entendis un drôle de bruit: c'était mon mari qui faisait quelque chose. Je m' approchai de lui, discrètement, et j'aperçus quelque chose de pointu, ressemblant à un couteau. Je commençai à avoir des doutes, je courus jusqu'à la chambre de ma petite fille et elle n'était plus là. Le lendemain, je demandai à Jaques où était passée Marlène et il me répondit ''Elle est partie dans un endroit où il y a des vrais surdoués: elle m'a dit qu'elle s'ennuyait à l'école donc je lui ai emmenée''. Ma crainte disparut mais cela ne dura pas longtemps car je vis qu'elle ne rentrait pas le soir. Je n'osais rien demander à mon mari, tellement j'avais peur. »
Je compris un tas de choses: d'abord, ce n'était pas Cécilia l'assassin, ensuite que Marlène est ou vas bientôt être tuée, que c'est Jaques l'assassin, que Marlène était une surdouée, ensuite que Auguste avait déjà tué plusieurs personnes, et enfin que le père de Marlène tuera encore d'autres enfants en faisant exprès d'être gentil.



Chapitre 4 – L'assassin n'est pas toujours celui que l'on croit

J'allai inspecter la maison et je trouvai quelque chose: le couteau de l'assassin. J'allai au laboratoire comparer les empreintes de Jaques et celles trouvées sur le couteau; ils correspondaient parfaitement.
Cette fois j'en suis sûre, l'assassin est bien le père de ma meilleure amie.
Mais il restait encore une question: pourquoi a-t-il fait cela ?
Pour connaître la réponse, il fallait que j'interroge le suspect. Il se trouve à son travail. Cécilia m'a informé qu'il travaillait au garage du centre ville.
Je partis pour aller rejoindre Jaques, le suspect, l'assassin.
Comme je n'avait pas encore dîné et qu'il était tard, je mangeai en route, j'avais déjà prévu cela. Pour ce qu'il en ai de mes parents, ils ont l'habitude et savent que je combas le mal ( et ils sont fiers de moi ! ).

Quand je fut au garage, je ne vis pas Jaques... Un des garagistes m'a dit qu'il est allé chercher sa fille. En attendant, je rédigeai les questions sur une feuille de papier, l'enveloppai et je signai la lettre : "Anonyme". Je confiiai la lettre au garagiste et m'en aillai.
J'attendis plusieurs semaines mais les réponses n'arrivaient toujours pas. Je m'inquiétais de plus en plus pour Marlène et chaque jour, je rendais visite à la mère de Marlène pour de nouveaux indices. Malheureusement, elle ne m'aidait pas beaucoup. Je décidai donc de me rendre à nouveau au garage, plus tôt que la dernière fois. En chemin, je rencontrai la cousine de Marlène, qui devait aller lui rendre visite. Je l'ai saluée, mais j'ai préféré laisser faire Cécilia pour les explications. Je continue toujours... toujours... Soudain, j'aperçus un vieil homme vêtu d'un grand et large drapé. Et me doutant qu'il avait quelque chose à avoir avec l'enlèvement de Marlène, je le suivis discrètement, en me disant que j'aurais une autre chance de rencontrer le père de Marlène. Le vieil homme arriva dans un beau parc que je n'ai jamais connu. Au fond d'un chemin, il y avait trois portes. Le vieil homme entra dans la plus grande, celle du milieu. Je le suivis. Quand j'ai dépassé la porte, j'ai regardé le paysage. Ce n'était pas le même que l'autre, quoi que ressemblant. C'était un paysage surpeuplé d'animaux, où l'eau était bleue, presque verte. Le mystérieux homme se retourna et me vit. J'avais peur...